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vendredi 31 mai 2024

Mèches dorées


     Après 2 ans sans être allée chez le coiffeur, aujourd'hui je me suis accordé ce plaisir.

     J'ai appliqué du fond de teint pour cacher mes cernes et mon teint blême, essayer d'avoir l'air d'aller bien. Finalement, on a quand même évoqué la santé, en toute bienveillance. C'était un moment sympathique ; je n'avais pas eu de mèches dorées depuis très longtemps. Je savoure ce moment, prendre soin de moi, me ressourcer... C'est tellement rare...


     Concernant l'avancement de ma correction : l'histoire de Däravia est corrigée, il ne reste que la relecture des 11 dernières pages à effectuer. Ça paraît peu, mais je peux buter sur la même phrase durant 10 minutes, sans parler du fait que je dois respecter les délais de mes Services Presse pour Geek and Chill, tout en endurant la douleur h24 et l'épuisement. J'avance comme une tortue, mais j'avance !

     J'ai deux relecteurs investis qui aiment beaucoup mes textes, je leur transmets chaque histoire une fois bouclée pour qu'ils repèrent d'éventuelles coquilles. Ça me pousse de l'avant de recevoir d'aussi bons retours et de tels encouragements !


     Être auteure n'est pas si simple. Certains lecteurs exigent la suite rapidement, ne supportent pas d'attendre, ni l'idée qu'un écrivain puisse avoir envie de plancher sur une autre histoire. Je crois qu'il faut suivre ses envies sans s'imposer de délais, de pression. Ne pas chercher à satisfaire un lectorat trop impatient. Notre époque engrange toujours plus d'instantanéité, au point que ça empiète sur le quotidien. Les gens veulent tout immédiatement. Et ça se repère aussi dans leur consommation. Ils veulent une avant-première de quelques jours pour la sortie d'un jeu, payent même pour ces malheureuses heures qui ne changent pas grand-chose au final, hormis la vanité de les avoir obtenus en avance sans être journaliste. C'est une démarche que j'ai du mal à saisir. Et c'est comme ça dans presque tous les domaines. Quelle triste époque qui transforme les Humains en machines quelque part...

     Les émotions deviennent aussi instantanées, elles naissent et meurent, comme une couche de peinture qu'on applique par-dessus. Les gens aiment, haïssent, puis s'absorbent dans les dernières sorties sur Netflix, Prime, Disney+... Une routine dans laquelle la place du moi intérieur se délite. La réflexion s'efface au profit d'un monde toujours plus rapide, toujours plus rentable. Il n'est plus question de se poser pour mûrir ; la contemplation intérieure, gage de sagesse devient abstruse. Il faut courir, toujours plus vite, se taire, respecter les échelons d'une hiérarchie oppressive.

     Je pense très différemment. Cela ébranle beaucoup de gens qui ne parviennent pas à me comprendre. Je suis introvertie et très réfléchie, ce qui déstabilise dans ce monde trop rapide dans lequel je bouge tout doucement. Combien de fois des interlocuteurs me reprochent de ne pas leur répondre dans les 5 minutes, incapables de comprendre qu'il existe une vie en dehors des réseaux sociaux ? Cela me désole de constater que plus le temps passe, plus l'humanité se dépouille de sa compassion et de toutes les qualités qui permettraient un monde meilleur. La douceur fane au profit d'un matérialisme illusoire.


     Pour en revenir à l'art, il ne se commande pas, si on a envie d'écrire une romance plutôt que du steampunk, par exemple, eh bien qu'on le fasse ! L'important est de créer, non pas pour satisfaire les exigences des lecteurs mais pour le plaisir de s'exprimer, transmettre quelque chose, faire voyager, rêver. L'art est également une thérapie par excellence. Il favorise l'introspection. Il y a des choses que l'on ne parvient pas à exprimer oralement. S'harmoniser avec son moi intérieur, ses émotions, ses sensations ; permet d'abréagir tout en transmettant quelque chose qui va potentiellement aider autrui. Dans le cas de la littérature, le livre a un pouvoir incroyable. Il apporte des idées, pensées, émotions ; peut même transformer la vision qu'on porte sur le monde grâce à la philosophie et le développement personnel.

     Écrire est vital pour moi, mais j'y reviendrai dans un post ultérieur. La dernière partie de ce Loup-Garou au Manoir Lionheart est désormais terminée, elle n'aura duré que 3 soirées ! C'est la plus courte d'entre toutes ! Ma chronique de Suzume est bouclée, je vais la retravailler et la poster ensuite sur Geek and Chill. Je dois également rédiger une review d'un jeu dont je ne peux rien dire pour le moment.

     Bon Dimanche à tous !

samedi 25 mai 2024

Après 3 semaines de bronchite


     Après 3 semaines de bronchite, j'essaie de rebondir. Ces derniers jours ont été très éprouvants. J'essaie de prendre du temps pour moi, me reposer, créer.
     Exceptionnellement, une partie de Loup-Garou au Manoir Lionheart a lieu depuis Dimanche dernier. Même si la santé fait défaut, le cœur y est. Cette fois, notre comité se limite à 5 joueurs, dont un rôle de domestique + 2 PNJ.



     Mon médecin m'a prescrit du Delical pour tenir le choc et ne pas tomber en dénutrition à force de me vider en boucle. C'est... peu ragoûtant... Vraiment... Et c'est un test, voir si je le tolère ou pas. Je suis toujours aussi malade, si ce n'est plus, donc difficile à déterminer... Et mon rendez-vous avec la gastro-entérologue est fixé à Octobre. À mon médecin d'appeler pour obtenir un rendez-vous plus tôt... J'attends depuis la semaine dernière, mais il est vrai qu'il est surchargé de travail.

     Mai touche à sa fin, je ne l'ai pas vu passer !
     Concernant ma Boutique, beaucoup m'ont mp pour m'indiquer qu'elle n'était pas assez intuitive, donc je pense ouvrir une boutique vitrine. Ce Blog et cette future Boutique seront interconnectés. Ce sera plus simple de cette façon. J'ai déjà plein d'idées pour qu'elle soit fluide et accueillante. En attendant, j'ai une partie à maîtriser ce soir, je vous dis à bientôt !

samedi 18 mai 2024

milet「Anytime Anywhere」

 


And you alright
Can you hear me
Daremo inai senrozoi wo nazotteku

Oogesa ni naite
Waratte hoshikute
Senmei de itai omoide wo dakishimeteiru

Sayonara yori zutto taisetsu na
Kotoba de tsutaetain da
Arifurete demo tokubetsu de

Hora kono me ja nakereba
Mienakatta mono ga
Dou shite ? afureteku

Dakara mou ichido umarekawarou tomo
Mata watashi wa koko wo erabun darou

Dakara anata to mata meguriattara
Mou hanasanai ima wo erabun darou

Yakusoku nante nakutemo
Kodoku ni mayou hibi demo

Sono namida datte daijoubu, kitto yo ga akeru yo

And I'm alright (I'll be alright)
Yeah I hear you (I care about you)
Nobita kami wo kaze ga karakatteru

Zenbu imi ga aru yo
Tachidomatta hibi mo
Ima sara wakatte anata ni oitsuita yo

Hora kono me ja nakereba
Mienakatta mono ga
Dou shite ? afureteku

Dakara mou ichido umarekawarou tomo
Mata watashi wa koko wo erabun darou

Dakara anata to mata meguriattara
Mou hanasanai ima wo erabun darou

Anytime anywhere yah (doko ni itemo)
Anytime anywhere (waratte misete)
I'll be there (me wo tojireba itsumo)

Anytime anywhere yah (arukidashita)
Anytime anywhere (watashi wo mitete)
I'll be

Semete aitai yo nante iwanai kara
Nee kyou dake wa omoidashite ii ka na

Dakara anata to mata meguriattara
Mou mayowanai ima wo erabun darou

Yakusoku nante nakutemo
Kodoku ni mayou hibi demo

Konna ni mune ga itai no wa
Anata to ita akashi ka na
Zettai nante nakutemo
Itsu demo todoiteiru kara
Sono namida datte daijoubu, kitto yo ga akeru yo
I'm whispering our lullaby for you to come back home

samedi 11 mai 2024

L'histoire de La Caravane d'Ahnkilie


     J'avais écrit quelques semaines plus tôt au sujet de La Caravane d'Ahnkilie, qui a une histoire assez dense. Eh oui,  mon premier éditeur m'a escroquée. Mais, commençons depuis le début, voulez-vous ?

    Initialement, j'ai écrit La Caravane d'Ahnkilie en 2007. C'était l'époque où je pouvais enchaîner l'écriture de plusieurs romans en une année. J'avais alors une meilleure santé... Octobre 2007 est arrivé, je devais passer mon BAFA et m'absenter pendant 2 semaines. De retour chez moi, la suite du tome 2 est tombée à l'eau. Je n'étais plus du tout dans le mood. Mais le tome 1 était achevé. J'ai écrit bien d'autres histoires par la suite. La publication n'était toutefois toujours pas ma priorité. J'avais déjà frôlé de près la possibilité de me faire publier dans une ME à mes 13 ans avec mon roman "L’Élue des 8 Immortels" qui reprend le folklore chinois, sauf que je n'étais pas prête. En fait, je crois que je ne réalisais pas la rareté de ma situation à l'époque. En tout cas, le milieu de l'édition a beaucoup changé au fil des ans. Quand je me suis sentie prête en 2009, je me suis confrontée à des ME prestigieuses qui ne lisaient pas les manuscrits en réalité. Assez dépitée, j'ai remis à plus tard l'idée d'être publiée.
     En 2013, un ami m'a informée qu'un de ses contacts ouvrait sa propre maison d'édition et cherchait de jeunes auteurs. La ME se nommait Ageektion, dirigée par Mr Cédric Cassam. Il m'a dit que mon roman était très bon et a proposé de l'éditer, à frais d'auteur. Autrement dit, que je paye la couverture et tous les frais inhérents à la publication du livre. J'étais naïve et puis bon, c'était l'ami de mon ami, alors pourquoi me méfier ?

 

     J'ai versé plus de 1000 euros pour publier La Caravane d'Ahnkilie. À la base, j'avais récolté 950 euros à l'issue de ma campagne My Major Company (860 euros une fois leur pourcentage prélevé) pour Dernière Danse.

     Mathieu Coudray a failli réaliser la couverture La Caravane d'Ahnkilie. La nouvelle mappemonde a été abandonnée. Ageektion songeait à lancer une campagne de financement participatif pour Ahnkilie, sauf que je venais d'en clôturer une sur My Major Company.

     J'ai travaillé gratuitement sur les histoires annexes du Dernier Bastion, le JDR de Mr Cassam, qui n'ont finalement pas vu le jour. Pour la publication de Dernière Danse m'ont été demandés 50 euros pour la couverture, réalisée par Malaki (Guillaume Prevel). Puis 417,98 euros pour la publication des 100 exemplaires de Dernière Danse.


     Mr Cassam est revenu vers moi en me précisant qu'il fallait que je paye davantage pour un service de correction. J'ai refusé, notre contrat stipulait bien que les frais de correction étaient compris dans le forfait. 

    Les noms de villes cités dans Ahnkilie sont tirés du JDR des Terres Balafrées dont je me suis inspirée pour créer mon propre univers... Juste les noms de villes, je précise... Je ne connais pas ce JDR, je ne l'ai jamais lu, ses régions m'ont simplement transportée.

     Mr Cédric Cassam-Chenaï a prétendu avoir lu le début de mon histoire sur un forum en 2008 (j'ai écrit mon histoire à la main en 2007 et je l'ai numérisée en 2012). Puis, il a finalement admis ne pas avoir lu le livre ; mais Cyrielle, la directrice artistique (j'adorais cette fille), oui. Cyrielle a vraiment aimé mon roman.

     Les semaines ont filé sans que rien n'avance. Retard de livraison par bateau. La maquettiste n'a pas mis les tirets dans le roman, elle a complètement  bâclé le travail.

 

 

     Concernant l'illustration, je souhaitais en discuter avec l'illustrateur lui-même, à savoir Rudy Crus. Mr Cassam a préféré servir d'entremetteur pour ce projet. De fait... Eh bien, l'illustration est certes superbe, mais Eleanor a les cheveux courts alors qu'elle les porte très longs. Ici, une épée repose à sa ceinture alors qu'elle manie le fouet, c'est une dompteuse. Nofelna est équipée de jambières en métal alors que c'est une elfe archère qui mise tout sur la vitesse. Et Evelia a les cheveux bouclés, mais c'est surtout son air aguicheur qui ne lui sied guère, surtout en robe de soirée ; rappelons que c'est une simple soubrette extrêmement réservée... Quant à Ignus, eh bien c'est un peu le personnage principal. Eh oui, j'ai écrit cette histoire en 2007, il n'existait pas alors. Puis, en 2012, je l'ai retravaillé en rôlant. Farrel a créé le personnage d'Ignus. Initialement, c'était juste pour le fun, lui faire vivre une enquête très sympathique. Sauf que notre partie a duré plusieurs mois et son personnage est devenu vraiment crucial dans l'histoire. Alors en 2012, je l'ai implanté, modifiant le scénario principal par la même occasion. Parfois, je glisse les personnages de ceux que j'aime dans mes œuvres. Une marque que je laisse dans le temps.

     Les couleurs de l'illustration ne correspondent pas, fondues dans un camaïeu mauve. On ne discerne pas les cheveux roux de Sagramor, ni toutes les autres nuances spécifiques aux héros.

     Cette version d'Ignus m'attriste assez. Oui il est bien dessiné, mais c'est Kadan qui porte des peaux de loup, pas lui... Il y a eu d'énormes problèmes de communication qui ne seraient pas à déplorer si j'avais pu travailler directement avec Rudy Crus. L'artiste n'est absolument pas à blâmer, ayant suivi les consignes de Mr Cassam. Rudy a un réel talent, j'aurais vraiment aimé que l'on puisse collaborer ensemble sur mon univers.

     Enfin, tout cela pour dire que Mr Cassam ne m'a pas permis d'obtenir le rendu souhaité pour l'illustration principale ; qui est l'élément essentiel d'un livre, celui qui lui donne une identité et va permettre de rassembler son lectorat au premier coup d’œil.

     J'ai créé une petite créature dans Ahnkilie que j'ai nommée Popu. Jahyra s'était déjà chargée du dessin du Collier de Shelzar : une lune et un soleil enlacés. Eh bien, Mr Cassam a demandé à rajouter des pattes, car sa description faisait trop penser à Kirby, puisque c'est une boule rose... Donc Jahyra a dessiné une créature poilue avec des serres. Mon Popu est une simple boule rose sans pieds ni mains, aux yeux jaunes, avec un minuscule bec. Elle a le regard vide car son intelligence est... limitée. 


     Revenons à cette époque. Dernière Danse est sortie en édition limitée à 100 exemplaires, une parution discrète, non officielle. La Caravane d'Ahnkilie, quant à elle, a été publiée en Septembre 2014. Lien FNAC, présence sur plusieurs sites... Et là, c'est le drame ! Il y a une faute dans le titre ! Mr Cassam a publié mon roman en le titrant La Caravane d'Anhkilie ! Nh et non hn ! Et il m'a reproché ensuite de ne pas l'avoir remarqué plus tôt sur la maquette ! C'est un ami qui l'a constaté ultérieurement, une fois son exemplaire en mains...

     La mise en page est ratée avec des tirets de trois kilomètres, les marges ne sont pas respectées. Le roman est statué à 455 pages, mais c'est sans compter la couverture, le sommaire et la page de fin. Enfin, ce n'est qu'un détail ; seulement, on compte toutes les pages dans un livre. Y compris les pages blanches usuelles qui servent aux dédicaces. La règle exige de commencer un chapitre à droite, la page de gauche est parfois blanche en conséquence. Tout le monde ne s'y conforme pas forcément, bien sûr.



     Fin de l'été 2014. Mortifiée, j'ai dû accepter l'idée que mon livre soit enfin publié... mais avec des fautes, y compris dans le titre. À cette époque, je n'avais pas mon niveau de correctrice pro. Et surtout, je me suis beaucoup relâchée puisqu'Ageektion devait corriger mon manuscrit avant publication...

     Les mois ont filé. Mr Cassam organisait des salons et vendait mes exemplaires. Je ne participais pas et cela m'affligeait... La relation devenait tendue avec mon éditeur. Les semaines filaient, Mr Cassam continuait de vendre mes livres, mais ne me payait pas. 0 centime sur mes ventes. Au terme de longs mois de forfaiture, nous avons signé une rupture conventionnelle de contrat. Il m'a envoyé la fin de stock (environ 200 livres sur les 1000 vendus) mais ne m'a aucunement versé mon dû. J'étais fatiguée, surtout moralement. Mr Cassam a escroqué d'autres personnes. Il a organisé un GN payant qu'il n'a pas honoré et n'a pas remboursé les participants. Cette histoire a fini en justice. Il a fermé sa société.

 

     Et moi dans tout ça ? J'ai très mal vécu cette publication, qui représentait tellement dans ma carrière... Une consécration, réussir en tant qu'auteure... Maintenant, nous sommes en 2024, j'ai 21 ans de métier. Je me suis nettement améliorée au fil du temps.

     Je voyais Cédric et Cyrielle comme des amis. Et parce que tout s'est écroulé sur le plan professionnel, j'ai perdu cette amie, Cyrielle, par ricochet. Alors que l'on s'entendait vraiment bien...

     Si je conserve ce goût amer en songeant à La Caravane d'Ahnkilie, je dois garder à l'esprit tout l'amour, toute la passion que j'ai insufflé dans ces pages. Je dois me sentir fière et ne pas me laisser submerger par le négatif. Il demeure un très bel univers, une ode au voyage que Laetitia adorait.



dimanche 5 mai 2024

Des vagues de froid

 

     L'hiver tarde à tirer sa révérence. Des températures qui chutent à 3° début Mai, ce n'est guère normal... Il a neigé fin Avril. La nature est complètement détraquée...

     Quant à moi, je savoure du thé dans la quiétude de cette grisaille. Il pleut tous les jours depuis deux semaines. Je préfère la pluie comme tout le monde le sait. Il y a eu de sacrées tempêtes, beaucoup d'inspiration au rendez-vous. Hélas, le corps ne suit pas et décline... Mais je tiens bon, autant que possible.

     Un nouveau projet a vu le jour, le roman tant attendu qui se déroule dans l'univers de ma version du Loup-Garou de Thiercelieux. Mes amis rôlistes sont très impatients ! Il n'y a que 6 pages pour l'instant, mais la passion est là. Dommage que mon corps souffre autant et que la fatigue sape toutes mes forces... Cela ne veut pas dire que j'abandonne Strarda, bien au contraire. Je corrige le dernier chapitre de l'histoire de Däravia, après quoi il restera celle de Gheluven (courte) et celle de Röder (le cœur du livre). Ensuite, tout sera bouclé et on pourra penser à la publication de cette réédition qui m'aura pris plusieurs années.

Où vont les Tempêtes - MEIMUNA

  Tu m'avais dit, que tu savais Que les murs, pouvaient tomber Et quand tu entendais, le vent se lever Je me souviens que tu avais peur ...